3 ene


09









AKHENATON NO ERA MONOTEISTA( SE LO INVENTÓ FREUD)



El faraón menos comprendido de Egipto, que ya es decir, fue
Akhenatón, un gobernante de la Dinastía XVIII egipcia , sucesor de su
padre, Amenofis III.


Akhenatón(Amenofis IV)  gobernó Egipto en una época de mediados del II milenio a.C.


¿Indeterminada?.


En realidad existen NUMEROSAS CRONOLOGÍAS para el gobierno de este faraón y en general para toda esta Dinastía :


1350-1334 según Clayton( 16 años)


1425-1408 según Driotón (17 años)


14219-1386 según Wente y van Siclen III (23 años)


1397-1387 según Vandersleyen ( 10 años)


y así muchas más recogidas en mi último libro de Historia Antigua Universal (cfr.Vázquez Hoys,A.Mª:Historia   del Mundo Antiguo,Próximo Oriente y Egipto, Ed.Sanz y Torres,Madrid , 2007, p.368)


YA SE SABE QUE TODAS LAS CRONOLOGÍAS DE LA ANTIGÜEDAD SON
APROXIMADAS HASTA LA ÉPOCA SASÁNIDA  y  hay al menos 5 (ultralarga,
larga, media, corta y ultracorta, según sea la interpretación de la
tablilla de Ammisaduqa).



 Mantengo las lenguas originales en que he encontrado la información  en la web porque los alumnos universitarios que la utilicen deben al manos molestarse en leer inglés y francés.





Akhenatón,Nefertiti y tres de sus hijas





Al menos dos divinidades aparecen en estas representaciones :El Disco solar, el Itén.Y la diosa cobra Wadjet.


Es decir:Dos .No UNO SOLO





Tambien DOS:La cobra y el Disco solar. No hubo  UNO nunca.







Antes del año  5








Segunda parte del reinado
 







La rupture définitive intervient entre l’an 4 et l’an 6. Amenhotep IV change son nom en Akhénaton (L’efficience d’Aton) et décide la création d’une nouvelle capitale dans un lieu vierge de Moyenne Egypte. Il la nomme Akhétaton (L’horizon d’Aton – c’est la moderne Amarna).




















Amenhotep IV est probablement couronné à Thèbes, suivant les traditions établies par ses prédécesseurs. Des inscriptions le nomment « celui qui a été choisi par Amon pour apparaître en gloire des millions d’années ».


Cependant le début du règne est déjà très
innovant. Un grand complexe cultuel est construit à l’est de Karnak,
dédié non pas à Amon-Rê mais à une nouvelle forme du dieu solaire : « Le vivant, Rê-Horakhty qui jubile dans l’horizon en son nom de Shou qui est à l’intérieur d’Aton ».
Certes, cette phraséologie n’est pas tout à fait nouvelle. Elle rappelle les principes de la théologie héliopolitaine,
qui imprègne la religion égyptienne depuis au moins l’Ancien Empire, et
qui fait du monde la création du soleil. Aton était jusque là une
divinité mineure, personnifiant le disque solaire. Déjà Thoutmosis IV, puis Amenhotep III, grand père et père d’Amenhotep IV,
avaient montré un intérêt certain envers cette tradition, peut-être
pour renforcer leur pouvoir personnel à la manière des prestigieux
bâtisseurs des grandes pyramides.
Mais l’iconographie, d’abord classique,
est vite bouleversée. Aton est représenté par un soleil aux rayons
terminés par des mains. Le roi ordonne que son image soit celle d’un
personnage à la face émaciée et allongée, au ventre proéminent, aux
hanches larges et aux cuisses épaisses. En cela, il ne se rattache à aucun modèle préexistant.
Cela témoigne probablement d’un mélange de naturalisme (l’aspect réel
du roi) et de symbolisme (la fertilité et l’androgynisme divin).
L’épouse du roi, Nefertiti,
bénéficie également d’un traitement particulier. Une partie des
nouveaux temples de Karnak la représente accomplir les rites seule, sans
son royal époux, à la manière d’un corégent.
La rupture définitive intervient entre l’an 4 et l’an 6. Amenhotep IV change son nom en Akhénaton (L’efficience d’Aton) et décide la création d’une nouvelle capitale dans un lieu vierge de Moyenne Egypte. Il la nomme Akhétaton (L’horizon d’Aton – c’est la moderne Amarna).
Une nouvelle religion pour un dieu vivant
Akhénaton n’est pas qu’un créateur, c’est aussi un destructeur, qui met en oeuvre une révolution culturelle peut-être aussi violente que celle initiée par Mao Zedong.
Ses séides, appuyés par l’armée, parcourent les temples et effacent les noms et les visages des dieux. Tous les revenus des temples sont désormais redirigés vers le domaine d’Aton, devenu le seul dieu officiel.
Ces transformations suscitent sûrement des résistances. Pour les briser, Akhénaton s’entoure d’hommes nouveaux, d’extraction modeste, qu’il élève au-dessus de l’aristocratie.
Comme l’art, l’architecture est
bouleversée. Il faut à présent construire très vite pour ériger les
édifices qui mettent en scène la nouvelle idéologie. Les grandes pierres
de grès ou de calcaire sont remplacées par des petits blocs de 60×25 cm environ, plus faciles à transporter et à assembler, les tatalat.
Le roi et la famille royale deviennent
omniprésents dans la vie du pays. Des reliefs les représentent dans des
scènes intimes, non pas par spontanéité, mais pour ritualiser tous les actes quotidiens des citoyens autour de la divinité royale. C’est sans doute bien une forme de totalitarisme. Désormais, l’adoration du roi est l’unique moyen d’accéder au monde divin.

Les conceptions funéraires anciennes sont
profondément modifiées. Les tombes des courtisans d’Akhétaton sont
orientées vers l’est, le soleil levant. Sur les décors, la famille
royale est partout, seule capable d’intercéder vers Aton. C’est là qu’on
a trouvé des versions du fameux hymne à Aton,
que l’on présente parfois abusivement comme étant à l’origine du
monothéisme. Les inscriptions sont écrites dans une langue réformée,
synthèse entre l’égyptien classique et le vernaculaire.
Néanmoins, malgré l’interdiction des anciennes fêtes religieuses, la révolution peine à s’imposer
dans la vie quotidienne du peuple. Les croyances traditionnelles
restent vivaces. Même à Akhétaton, certains continuent à posséder des
représentations d’autres dieux qu’Aton comme en témoignent les objets
retrouvés dans les fouilles modernes.
Les mystères d’après l’an 12
La majorité de la documentation
subsistante date d’avant l’an 12. De nombreuses hypothèses ont été
vivement débattues pour tenter d’expliquer la période ultérieure.
A partir de l’an 14, Akhénaton a une certaine Ankhetkhépérourê Neferneferouaton comme corégente. Pour certains chercheurs, il s’agirait de Méritaton, fille d’Akhénaton
et Nefertiti. Cependant, “Neferneferouaton” était le premier nom placé
dans le cartouche de grande épouse royale de Nefertiti (voir
l’illustration supra).
Il est donc peut-être plus vraisemblable d’identifier Ankhetkhépérourê Neferneferouaton avec Nefertiti. Celle-ci serait devenue corégente comme aboutissement ultime de l’idéologie atonienne identifiant Akhénaton et Nefertiti à Shou et Tefnout, le premier couple issu du créateur dans la théologie héliopolitaine.
COMENTARIO: ¿Teníamos YA arriba  4 dioses  adorados en época amarniense?
Ahora tenemos dos más, es decir, AL MENOS 6
.El Itén o Atón
.La diosa cobra Wadjet
.Akhenatón
.Nefertiti
.Shu
.Tefnut
Shu was an Egyptian air and sky god who mated with
his sister Tefnut to sire Nut and Geb. Shu is shown with an ostrich
feather. He is responsible for holding the sky separate from the earth.

Tefnut

A fertility goddess, Tefnut is also the Egyptian goddess of moisture
or water. She is the wife of Shu and mother of Geb and Nut. Sometimes
Tefnut helps Shu hold up the sky.
Le rôle de reine serait alors revenu à leur fille Méritaton.

Succession
Akhénaton meurt dans sa 17e
année de règne. Il a certainement été enterré. Certains supposent que
sa momie a été ramené à Thèbes pour finir dans la tombe KV55. Rien n’est
moins sûr.
 www.amarnaproject.com/…/index.shtml ara más información
www.geocities.com/…/NecropolisA_2.htm: Para ampliar la información
Un certain Ankhkhépérourê Smenkhkarê-Djéserkhépérou
lui aurait brièvement succédé, d’après les reliefs de la tombe du
courtisan Mérirê II à Akhétaton. Marc Gabolde a supposé qu’il s’agissait
du prince hittite envoyé par Soupilouliouma à la demande de la veuve de
pharaon. Mais il peut sembler plus logique que cela soit Nefertiti,
abandonnant son nom de Neferneferouaton pour celui de Smenkhkarê en passant de la corégence à la pleine royauté.
Quoiqu’il en soit, il semble clair que le nouveau pouvoir recherche une alliance avec les représentants de l’Ancien Régime. Les dogmes atoniens sont abandonnés, les persécutions contre Amon arrêtées.
C’est bientôt le jeune Toutânkhaton, probablement fils d’Akhénaton
et d’une autre épouse que Néfertiti (comme Kiya) qui monte sur le
trône, change son nom pour celui de Toutânkhamon, et abandonne Akhénaton. L’ère amarnienne est alors pratiquement terminée, et la XVIIIe dynastie entre en agonie.
Postérité
Dès Toutânkhamon, le règne est considéré comme une parenthèse néfaste dans l’historiographie officielle. A partir d’Horemheb, la destruction des monuments du roi hérétique commence, continuées par les ramessides. Akhénaton disparaît des chroniques royales.
Peut-être en réaction à son autoritarisme, les croyances funéraires se développent et s’individualisent : le défunt se passe désormais du roi pour atteindre l’au-delà, et récupère à son profit les formules magiques royales.
Cependant, lors de la redécouverte de cet épisode singulier de l’histoire égyptienne, à la fin du XIXe siècle, certains ont voulu voir en Akhénaton
un prophète inspiré, découvreur du monothéisme, amoureux de la paix.
Récemment, d’autres ont proposé de l’identifier à Moïse voire à…
Abraham.
Ces spéculations sont vaines, et
n’apportent rien d’autre que le miroir de nos propres fantasmes ou d’une
manipulation-distortion de l’histoire égyptienne à des fins politiques
ou religieuses.
Mais elles ont construit l’icône d’Akhénaton dans l’imagerie occidentale moderne, telle que la représente par exemple E. P. Jacobs dans Le mystère de la Grande Pyramide :
Steffen Wenig, Lexicon der Ägyptologie, I, 210-220.

Claude Vandersleyen, L’Egypte et la Vallée du Nil, tome 2, Paris 1995, p. 409-465.

Jacobus Van Dijk, “The Amarna Period and the Later New Kingdom”, in Ian Shaw (ed), The Oxford History of Ancient Egypt, p. 272-290, Oxford 2000, 2002.

Nicolas Grimal, Histoire de l’Egypte ancienne, Paris 1988, p. 291-320.

Claire Lalouette, Thèbes ou la naissance d’un empire, Paris 1986, p. 505-546.

Le règne du Soleil: Akhenaton et Nefertiti, catalogue de l’exposition de 1975 aux MRAH, Bruxelles 1975.

Cyril Aldred, Akhenaten King of Egypt, Londres, 1988.

Donald B. Redford, Akhenaten: the Heretic King, Princeton, 1984.

Nicholas Reeves, Akhenaten – Egypt’s False Prophet, Londres 2001.

Marc Gabolde, D’Akhénaton à Toutankhamon, Lyon 1998
.

Maarten J. Raven, « Les fouilles de Leyde dans la tombe de Méryneith à Saqqarah », BSFE 155, octobre 2002, p. 11-31
Moises y la religion monoteismo y otros escritos sobre judaismo y antisemitismo Sigmun
Freud 1939. Este autor es el culpable de la teoria del Monoteismo de
Akhenatón.Tal vez porque no sabia contar,¿no?,,,,Y otras muchas cosas…



El último libro de Freud se refiere a la génesis del monoteísmo



Los dos eximios exponentes de las letras alemanas, Goethe y Schiller, se iniciaron en el movimiento literario romántico Sturm und Drang,
cuyo precursor fue Johann Gottfried Herder, un impulsor de los estudios
hebraicos, traductor del Cantar de los Cantares, y amigo personal de Moisés Mendelssohn.


Herder opinó que valía la pena dedicar diez años al estudio del
idioma hebreo, aunque más no fuera que para leer en su original el
esplendor del Salmo 104 del Antiguo Testamento, un himno ecológico
denominado Barji Nafshi («Que mi alma bendiga»), representante
de lo que Herder calificaba de «la poesía más antigua, simple y sincera
del mundo»( porque desconocía la poesía sumeria, acadia y babilónica ,
miles de años anterior).


Otro ejemplo del estilo escueto y directo de la lengua bíblica, se
lee en el primer capítulo del libro del Éxodo, cuando en apenas diez
palabras se nos informa de un cambio histórico fundamental: el fin de la
gloriosa decimooctava dinastía en Egipto.


En un versículo de treinta letras la Biblia narra el ascenso al trono de un «faraón nuevo que no recordó a José»,
sugiriendo que el nuevo monarca no mantuvo las buenas relaciones que
los descendientes de aquél, los hebreos, habían entablado con los
egipcios nativos. El enfrentamiento entre la nueva casta reinante y los
judíos empeoró hasta estallar la rebelión de los esclavos y el
celebérrimo Éxodo.


Los historiadores no concuerdan acerca de la identidad del monarca
que regía Egipto en esos días. Por lo menos cinco faraones compiten al
respecto, y las alternativas cronológicas son de los siglos XV, XIV y
XIII a.e.c. Los ejemplos respectivos de faraones serían, en el primer
caso Tutmosis III, en el segundo Amenofis IV o Tutankamón, y en el
tercero, Ramsés II o Mernefta.


Sigmund Freud, quien optó por los sucesores de Amenofis, adjudicó a 
este  faraón enormes consecuencias sobre la génesis de los judíos y
sobre la naturaleza del monoteísmo.





Ruinas de Amarna


Entre Tutmosis y Mernefta
De las alternativas esgrimidas para identificar al faraón del Éxodo, la más antigua es Tutmosis III,
y la más tardía Mernefta. Si se tratara del primero,  conquistador de
varias ciudades cananeas,  los israelitas conducidos por Moisés serían
los descendientes de una clase social de dependientes y protegidos
llamados Habiru.


Incluso el nombre de hebreos podría derivar del de aquéllos. En documentos antiguos, los Habiru aparecen en algunos casos como fugitivos, y en otros como bandas guerreras.


Merneptha, por su parte, es quien por primera vez
menciona a Israel en la historiografía no-israelita, en  famosa estela 
llamada “de Israel”.


 Merneptah (hijo de Ramses II, 1224-1204 a.C. Dinastía XIX), piedra
de basalto negro que data del siglo XIII a. C., donde se lee: “Israel ha
sido arrasado y su descendencia no existe”.





El nombre de ISrael en la Estela de Merneptha














 





Las hipótesis sobre Tutmosis y Merneptha, ambas fueron
descartadas por sendos historiadores : Moshé Greenberg, de la
Universidad Hebrea, y el historiador alemán Eduard Meyer
.


Nos quedamos con las posibilidades intermedias, y con una jugosa polémica acerca de la identidad del faraón. Sigmund Freud planteó en su último libro, El hombre Moisés y la religión monoteísta (1937),
que el Éxodo se produjo durante el interregno entre Amenofis IV y
Tutankamón, un período de anarquía que acompañó el declive de la
dinastía XVIIIa
.


Fundamentado en esa predilección cronológica, Freud construyó  una
singular hipótesis acerca los orígenes de la religión en general, y del
judaísmo en particular. La clave para explicarla puede reducirse a la
función de Amenofis IV.



Éste nació alrededor del año 1400 a.e.c. y reinó  más o menos durante diecisiete años bajo el nombre de Akenatón, el que es útil a Atón (el disco solar).


Su padre, Amenofis III, había gobernado por casi cuatro décadas y
hecho construir los templos de Tebas (la capital) de los cuales aún
puede admirarse el de Luxor.


La vida y obra de Amenofis IV han sido vastamente estudiadas debido a
que promovió una transformación radical en la vida religiosa , política
y económica del país del Nilo.


El arqueólogo norteamericano James Breasted (redactor del primer diccionario de egipcio antiguo) llegó a denominarle “el primer individuo de la historia humana”.


 Akenatón estableció al dios sol (Atón) como el principal divinidad
 de culto permitido y, para algunos , por primera vez en Egipto, no basó
estas reformas  en la vieja tradición. Se  opuso abiertamente al culto
del dios Amón de Tebas , suprema divinidad de esta ciudad, capital de
Egipto en el Nilo sur ( en el norte seguía funcionando
administrativamente Menfis ) , y lanzó una campaña contra los
sacerdotes  y fieles del viejo culto en Tebas, buscando para su reinado
una nueva capital , más al norte de Tebas, en un lugar no consagrado a
ningún dios. La denominó Aket-Atón, horizonte de Atón. Las
ruinas de esa ciudad, a más de doscientos kilómetros al sur de El Cairo,
se denominan hoy el-Amarna, y es donde en 1887 se hallaron unas famosas
tablillas de arcilla con cartas enviadas al faraón por sus súbditos,
los príncipes canaaneos, que le solicitaban protección , entre otros
peligros, contra los invasores hapiru liderados por Josué .


La revolución de este «primer individuo» Sumo profeta de Atón, en medio de graves desórdenes al parecer , aunque las noticias son confusas .


Poco después de su muerte, sus probables sucesores , Ay, Horemheb y
Tutankamón ( o las hijas de Akhenaton y Nefertiti e incluso Mutnedjemet,
tal vez hermana de Nefertiti, porque no hay noticias seguras de nada ) ,
restablecieron  el culto oficial a las antiguas deidades, y los
sacerdotes de la vieja religión recobraron sus privilegios.


La historiografía egipcia posterior denigra a Akenatón con epítetos como hereje y criminal, pero no logró menoscabar lo que los  modernos historiadores consideran su gran originalidad.


Obviamente sin razones:Cada época lo interpretó a su manera  a partir
del descubrimiento de la tumba de Tutankhamon, en 1922. Y todas las
razones, aparentemente, pueden ser válidas.


El libro de Freud  rescató  a Khenatón. Y transmutó su fracaso  en
una victoria póstuma descomunal que no hay forma de erradicar .


 Según la tesis, ( expuesta en el libro Moisés y el monoteísmo)
Akenatón habría sido el faraón previo al Éxodo israelí , que se habría
producido durante un interregno entre las dinastías XVIII y XIX. Cuando
el culto iniciado por Akenatón fue finalmente cambiado , un noble
egipcio partidario del derrotado culto habría decidido enseñar la nueva
doctrina a un grupo de esclavos, con los que creó una nación
contestataria.





La estela de Mesa fue erigida por el monarca moabita de ese nombre y es un documento histórico referente al libro de la Biblia 2 Reyes
capítulo 3. Se trata de una gran estela que Mesa plantó en su capital,
Dibón (actual Dibán); está inscrita en dialecto moabita-cananeo, similar
al hebreo bíblico. Tiene una altura de 1,13 metros y una anchura de 70
cm; lleva una inscripción de 34 líneas, escrita en primera persona del
singular; se inicia con una recitación bastante presuntuosa, hecha por Mesa, rey de Moab,
acerca de sus triunfos sobre la casa de Omri, rey de Israel. La
información que proporciona es de gran interés si se compara con la
descripción de 2 Reyes en la Biblia.


Yo soy Mesa, hijo de Kemos, rey de Moab, el dibonita. Mi padre
reinó sobre Moab durante treinta años y yo reiné después de mi padre. Y
yo hice el lugar alto para Kemos en Qerjá, un lugar alto de salvación,
porque él me había salvado de todos mis enemigos y me proporcionó el
placer de verme por encima de todos aquellos que me habían odiado. Omri,
rey de Israel, humilló a Moab durante muchos días, pues Kemos estaba
irritado contra su pueblo; y su hijo le sucedió y también él dijo: “Yo
humillaré a Moab”. En mis días habló de ese modo, pero yo he triunfado
sobre él y sobre toda su casa, mientras que Israel ha perecido para
siempre. Omri tomó posesión del país de Madaba, y moró allí en sus días y
durante la mitad de los días de su hijo: cuarenta años; pero Kemos lo
ha restaurado en mis días. Y yo edifiqué Baal Meón y construí en ella un
estanque, y construí Queryaten. Por entonces los hombres de Gat habían
morado en Atarot desde antiguo; y el rey de Israel edificó para sí
Atarot. Y yo luché contra la ciudad y la conquisté y degollé a todas las
gentes de la población e hice de ella lugar de pastoreo para Kemos y
para Moab. Y capturé de allí el santuario de Dudá y lo arrastré ante
Kemos, en Queriyot; e instalé allí a la gente de Sarón y de Mejrat. Y
Kemos me dijo: “Ve y arrebata Nebo a Israel”. Y fui de noche y luché
contra ella desde el amanecer hasta el medio día y tomé y maté a todos
en ella. 7.000 hombres, muchachos, mujeres, doncellas e incluso siervas,
pues los había destinado a la destrucción para el rey Istar Kemos. Y
tomé las vasijas de Jehová y las llevé ante Kemos. Ahora bien, el rey de
Israel había construido Yahas y vivió en ella mientras luchó contra mí,
pero Kemos le arrojó de delante de mí. Tomé 200 hombres de Moab y todos
sus jefes, los llevé contra Yahas y la tomé y la añadí a Dibón. Y
construí Querjá, la muralla del bosque y la muralla de la colina, y sus
puertas y sus torres y el palacio real e hice dos estanques en el centro
de la ciudad, así que dije a todo el pueblo: “Que todo el mundo se
construya una cisterna en su casa.” Y yo tallé el acueducto de Querjá
con la ayuda de los prisioneros de Israel. Y reconstruí Aroer y construí
la carretera a través del Arnón, y reconstruí Bet Bamot, pues había
sido destruida, y Betser… pues todo Dibón estaba sometido. Y reiné… 100
ciudades que había añadido al país. Y reconstruí Madaba y Bet Deblatein y
el templo de Baal Meón, y tomé allí al ganadero… los rebaños del país.
Entonces moraba allí Jernán, hijo de Dedán, y Dedán dijo… Kemos me dijo:
“Baja contra Jernán.” Así que yo descendí y peleé… y Kemos moró en ella
durante todos mis días…”



En las primeras 8 líneas de la inscripción en la piedra moabita
(figura inferior) se ha destacado la palabra Israel. Aparece en la
quinta y séptima línea.


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Freud arguye que aquel egipcio habría sido nada menos que Moisés, su Atón habría pasado a ser Adonai (el modo hebreo de denominar a Dios), y la nación surgida vendría a ser el pueblo hebreo.


El error de Freud
De acuerdo con la hipótesis, el monoteísmo no habría sido iniciativa
de los judíos, sino del faraón que impulsó «el episodio monoteísta de la
historia de Egipto». Su seguidor Moisés habría sido ulteriormente
asesinado por los israelitas, y este parricidio habría provocado un
sentimiento inconsciente de culpa perpetuado en las generaciones, que
constituiría según Freud la base de la religión.


El tema de la psicogénesis general de la religión merece un ensayo
separado, y aquí nos contentamos con la primera parte de la sugerencia
freudiana: la histórico-teológica.


Si bien la hipótesis de Freud ya fue refutada en el mundo académico, en su momento sorprendió,
pero no porque fuera especialmente original, sino porque Freud atribuía
un alcance excesivo a la faceta teológica de las modificaciones de
Akenatón. Aunque es verdad que el monarca eliminó los aspectos
zoomórficos de la divinidad, y así se elevó sobre la teología egipcia
 de su época, también es obvio que no puede considerárselo monoteísta sobre el único fundamento de que el sol fue su único dios.


Esto es así, primeramente, porque en el culto que ideó Akenatón, él
mismo y su esposa Nefertiti seguían siendo objeto de adoración como
todos los faraones.


ES DECIR: Atón + la diosa cobra Wadjet + Akhenatón + Nefertiti =  4  dioses al menos


En segundo lugar, y principalmente, porque el monoteísmo no es una
mera cuestión aritmética (que difícilmente justificaría la
gran influencia que tuvo en la historia) sino que se trata de una visión que presenta a Dios fuera de la naturaleza y de sus leyes.


Como explica Shalom Rosenberg de la Universidad Hebrea «el judaísmo
genera una revolución de ideas, no simplemente numérica: plantea un Dios
trascendente, al cual ya no puede apelarse a través de la magia, sino
por medio de la ética».


Freud trae como paralelo entre la religión de Atón y la de Moisés, el
hecho de que las imágenes del Salmo 104 aludido al comienzo de esta
nota son similares a las del Himno a Atón. Este símil, empero,
es insuficiente para asignar monoteísmo al faraón. La religión egipcia
que describe Freud es una simple monolatría, en la que la única deidad
es el sol. El monoteísmo hebreo, por el contrario, es trascendental y
ético.


Parecidas limitaciones podrían señalarse en los supuestos
«monoteísmos» helénicos. A pesar del politeísmo muy desarrollado de los
griegos, Iosef Klausner enseña que sus filósofos (no el pueblo) tendían a
la idea del monoteísmo, aunque ésta se redujera meramente a un
principio natural, unitario del ser. Desde los tiempos del primer
filósofo conocido, Tales de Mileto, los cosmológicos se dedicaron al
estudio de la naturaleza para tratar de descubrir un principio único que
sustentara todo. Por ese camino arribaron a una especie de monoteísmo,
especialmente desde Anaxágoras en adelante. Pero se trataba de una
concepción intelectual y no ética, y por ende enteramente distinta de la
religión conocida en el mundo occidental.


En el caso de Akenatón, la innovación no fue teológica sino social.


Como consecuencia de la expansión del imperio, había surgido entre
los funcionarios una incipiente clase media que enfrentó a la
aristocracia y la casta sacerdotal, principalmente dentro del ejército
egipcio. Los generales Pakhuru y el mentado Haramhab le permitieron a
Akenatón imponer su voluntad en lo referido al culto.


De esta transformación social, Freud infirió una campaña teológica
que habría derivado en el judaísmo y en sus religiones hijas. La
inferencia fue errónea. En su obra clásica Moisés, Martín Buber
se lamenta de que «un erudito tan importante en su propio campo como
Sigmund Freud, se haya permitido publicar una obra tan poco científica,
basada en hipótesis sin fundamento». El mismo Freud admite en su libro
que su tesis «carece de pruebas objetivas» y plantea el brete de que un
judío intente «privar a su pueblo del más grande de sus hijos».


Lo más aceptado hoy es que el faraón del Éxodo fue Ramsés II. Durante
la decadencia del reino medio (siglo XVII a.e.c.) un grupo de beduinos
del desierto arábigo invadió Egipto. Eran los hicsos, reyes pastores, que establecieron su capital en Tavaris (Zoan
en la Biblia) e iniciaron dos siglos de estabilidad. Introdujeron
caballos y carros de combate, y abrieron las puertas del país al
asentamiento y desarrollo de los hebreos. Pero los hicsos fueron
eventualmente expulsados del país. Cuatro faraones (Ahmes y sus
sucesores) emprendieron la expulsión y fundaron el segundo imperio
tebano durante la mentada décimooctava dinastía, que llevó a cabo una
férrea política nacionalista que terminó incluyendo a los israelitas en
su hostilidad.


El tercer faraón de la siguiente dinastía, la décimonovena, fue
Ramsés II (1290-1223 a.e.c.), protagonista del éxodo. La Biblia alude a
dos aspectos de la nueva dinastía, conocida como Ramsesana: la localización de la casa real en Per-Ramsés,
por él edificada, y el hecho de que los nuevos gobernantes (aquellos
que «no conocieron a José») utilizaron los caballos que habían importado
los hicsos, para deshacerse de éstos con sus hebreos y todo (capítulo
15 del libro del Éxodo).


La fiesta judía de la libertad, Pésaj o Pascua, es la más antigua de
las ceremonias religiosas practicadas ininterrumpidamente. Fue la
celebrada durante la Última Cena de Jesús y sus dicípulos, y la que
memora año a año, durante más de tres milenios, la historia del fin de
la opresión en Egipto. Se combinaron así un humilde origen de
servidumbre y la proclamación de la liberación, para inspirar los
contenidos más sublimes del monoteísmo.


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Freud e la nascita del monoteismo
Romeo Lucioni
Nell’analisi del mito di Mosé, Freud fa riferimento a Otto Rank (1909) che, nel suo

Il mito e l’analisi dell’eroe”, ha tracciato le linee-guida per la creazione del

personaggio, l’Eroe:

? ?
figlio di genitori di altissimi natali;

? ?
concepimento preceduto da difficoltà con relativo annuncio premonitore;

? ?
volontà distruttiva (generalmente del padre) con salvataggio che prevede
spesso una cassetta (organo femminile) e l’acqua (liquido amniotico); ? ? salvezza che viene da un animale femmina o da una umile nutrice; ? ? vendetta contro il padre; ? ? recupero delle prerogative nobili o reali: la restaurazione.
In questa organizzazione mitica della nascita dell’Eroe, si riconosce una posizione

emblematica nei confronti della figura paterna:

? ?
dapprima il padre è riconosciuto come re o comunque come il riferimento del
potere che tuttavia ha in sé una premonizione nei confronti del figlio che diventerà l’usurpatore;
? ?  successivamente
è l’erede che mette in evidenza la debolezza paterna a causa della
quale viene eliminato. Non è ben chiaro se il padre sia indebolito
oppure se si tratti di una vera e propria superiorità del figlio.
Partendo da queste considerazioni Freud riconosce qualcosa di diverso nella

storia di Mosé proprio perché:

? ?
ha origini umili;

? ?
viene salvato dalla figlia del Faraone;

? ?
assume il ruolo di salvatore del “suo popolo” schiavo e oppresso.
Qui finisce la prima stesura dell’analisi del tema Mosé; da qui però possono

essere tratte delle considerazioni interessanti:

? ?
Mosé è scelto da Dio per salvare il suo popolo e, quindi, l’origine non è più
umile, ma investita e segnata dalla “promessa divina”;
? ?  essere
salvato da una principessa, il cui padre-Faraone ha messo in pericolo
la vita di Mosé per salvare la propria, riporta il mito tra le linee
previste in quanto la nobiltà viene riconosciuta inferiore rispetto alla
parola di Dio (ricordare il bastone-serpente di Mosé che vince quello
del mago del Faraone).
Queste considerazioni sottolineano l’importanza di un cambiamento riferito al

rapporto tra Dio e l’Uomo, nel quale l’immanenza di Dio e la superiorità di questo,

generano le basi per la creazione di una nuova religione che è quella monoteista

ed anche di una concezione politico-sociale profondamente teocratica.

È Dio che prende per mano il “suo popolo” e lo conduce difendendolo dai pericoli

mortali:

? ?
la peste per la quale Dio ordina di segnare con una croce fatta con il sangue
dell’agnello pasquale (l’angelo sterminatore non entrerà nelle case ebree); ? ? l’intervento miracoloso dell’apertura delle acque del Mar Rosso che si abbatteranno sui cocchi egiziani;
? ?  il
vento che porta il frutto dell’albero del pane, per sfamare e l’acqua
che sgorga copiosa da sotto le pietre del deserto, per salvare dalla
sete.
La lettura del mito come nascita della religione monoteista sottolinea però anche:

? ?
la concezione della superiorità della religione sulla politica;

? ?
la dipendenza dalle scelte e dalle leggi dettate da Dio (il Re-capo incoronato in
nome di Dio); ? ? la necessità di conservare la benevolenza salvatrice di Dio attraverso una totale sottomissione; ? ? la concettualizzazione del peccato e l’organizzazione dell’idea della pena per redimere dalla colpa.
Nella seconda stesura dell’analisi del mito. Freud torna a considerare l’origine egiziana del nome Mosé (mosé = bambino, che sarebbe la semplificazione di Amon-mosé
= bambino donato da Amon) per cui si chiede come il Mosè illustrato
sulla base delle conoscenze e della cultura egiziana possa aver
abbandonato la sua religione politeista senza limiti per una “nuova”
(mosaica) rigorosamente monoteista che, per altro, propone una sublime
astrazione in contrapposizione a concezioni arcaiche feticiste e
concrete. Una antica confessione di fede ebraica suona: “Shemà Yisrael Adonay Elohenu Adonay Echod” che viene tradotto come: “Ascolta Israele, Adonay è il mio Signore
Questa invocazione del Faraone porta all’idea che le religione
monoteista sia stata imposta al popolo dal potere centrale e, nello
stesso modo, cominciamo a leggere la storia di Mosé. In altre parole,
non è Dio che sceglie il popolo eletto, ma è Mosé che sceglie il suo
popolo per creare il suo potere, imponendo sia il suo Dio (il supremo e
universale Adonay), sia la circoncisione (abitudine sociale e sanitaria
egiziana). In questo modo il popolo ebreo diventa l’eletto, ma anche il
sottoposto alle leggi ed alle norme imposte dall’idea monoteista che è
risultata frutto del bisogno di unificare le conquiste universali
(monoteismo come effetto secondario dell’imperialismo). Di fronte a
queste considerazioni, Freud cerca di spiegare la storia dei
rivolgimenti socio-politici del popolo ebreo. Viene preconizzata,
quindi, la morte di Mosé, la ribellione contro la tradizione egiziana
(la circoncisione viene riproposta come rifiuto delle tradizioni legate
all’esilio in Egitto), la scelta di un nuovo Dio “vulcanico” Yahweh, la
rimozione della dinastia sacerdotale dei Leviti che discendevano dai
funzionari di Mosè, abbandono delle tradizioni legate alla conservazione
del corpo dei morti. I fondamenti della dottrina Mosaica erano:
? ? l’idea di un Dio unico trascendente; ? ? il rifiuto di un cerimoniale magico; ? ? imposizione
di esigenze etiche. Queste furono operanti fino ad un certo punto, ma
successivamente vennero abbandonate per tornare successivamente e
lentamente ad affermarsi. Per Freud questo andamento corrisponde ad un
processo di psicologia collettiva, non molto dissimile da quelli
caratteristici della vita mentale del singolo. Ci vuole del tempo perché
il lavoro intellettivo e cognitivo dell’ Io porti a superare le
obiezioni che sono sostenute da forti investimenti affettivi. Freud
parla di “periodo di latenza” che segue ad uno “shock traumatico” (o
“nevrosi traumatica”) e che precede la conquista di una nuova calma o di
ritrovato equilibrio che tiene conto delle esperienze vissute. Il
ricordo influisce in modo decisivo sul pensiero e sull’azione del popolo
che lo ha tenuto nascosto, ma non dimesso o abiurato. In questo modo la
tradizione di un grande passato, i principi della religione mosaica
fondata su Aton acquistano sempre maggior potere sugli spiriti e riuscì a
trasformare quella di Yahweh in una nuova religione, più mistica, più
sociale, più consona alle esigenze del popolo.
Ogni
qual volta il soggetto è scontento del proprio presente (e nelle varie
epoche della vita succede spesso), si rivolge indietro, al passato, con
la speranza di trovarvi degli spunti a volte utili per far rivivere un
sogno. Nella tradizione vivono questi momenti di ricordi incompiuti e
confusi che permettono di riempire vuoti, creare fantasie e formare una
determinata “scena” che viene presa come verità.


Freud y el nacimiento del monoteísmo
Romeo Lucioni
En
el análisis del mito de Moisés, Freud hace referencia a Otto Rank
(1909) que, en “El mito y el análisis del héroe”, ha trazado la
conceptualizaciòn de la creación del personaje, el héroe:
- hijo de padres de empinados nacimientos;
- concepción precedida por dificultad con relativo anuncio premonitorio;
-
voluntad destructiva, generalmente del padre, con rescate que a menudo
preve una caja (órgano femenino) y el agua (líquido amniotico);
- salvación que viene de un animal hembra o de una humilde nodriza;
- venganza contra el padre;
                        - recuperación de las prerrogativas nobles o reales: la restauración.
                        En esta organización mítica del nacimiento del héroe, se reconoce una posición emblemática respecto a la figura paternal:
-
en un primer momento el padre es reconocido como rey o, en todo caso,
como la referencia del poder que sin embargo tiene en si una premonición
respecto al hijo que se convertirá en el usurpador;

-sucesivamente
es el heredero que pone en evidencia la debilidad paternal a causa del
que es eliminado. No está bien claro si el padre sea debilitado o bien
si se trata de una real superioridad del hijo. 
Partiendo de estas consideraciones Freud reconoce algo diferente en la historia de Moisés justo porque:
- tiene orígenes humildes;
- es salvado por la hija del Faraón;
- asume el papel de salvador de “su pueblo” esclavo y oprimido.
-
Moisés es elegido por Dios para salvar su pueblo y, por lo tanto, el
origen ya no es humilde, sino signada por la “promesa divina”;
                        -
ser salvado por una princesa, cuyo padre-faraón ha puesto en peligro la
vida de Moisés para salvarse a sì mismo, reconduce el mito entre las
líneas normales en cuanto la nobleza es reconocida inferior con respecto
de la palabra de Dios (recordar el bastón-serpiente de Moisés que vence
aquel del brujo del Faraón). 
                        Estas
consideraciones subrayan la importancia de un cambio referido a la
relación entre Dios y el hombre, en el que la inmanencia de Dios y la
superioridad de este, engendran las bases por la creación de una nueva
religión que es aquella monoteísta y también de una concepción
político-social intensamente teocrática.  Es Dios que toma por mano “su pueblo” y lo conduce defendiendolo de peligros mortales:
-
la peste por la que Dios manda señalar con una cruz hecha con la sangre
del cordero pascual (el ángel exterminador no entrará en las casas
hebreas);

Aquí
acaba la primera redacción del análisis del tema Moisés; pero pueden
ser llevadas consideraciones interesantes: -la intervención milagrosa de
la abertura de las aguas del Mar Rojo que se abatirán sobre las
carrozas egipcias;
                        -
el viento que lleva el fruto del árbol del pan (para saciarse) y el
agua que surge copiosa de bajo las piedras del deserto (para salvar de
la sed).
                        La lectura del mito como nacimiento de la religión monoteísta subraya también:
- la concepción de la superioridad de la religión sobre la política; 
- la dependencia de las leyes dictadas por Dios (el Rey-jefe coronado en nombre de Dios);

-la necesidad de conservar la benevolencia salvadora de Dios atraves de una total sumisión;
- la conceptualización del pecado y la organización de la idea de la pena para redimir de la culpa.
En
la segunda redacción del análisis del mito. Freud vuelve a considerar
el origen egipcio del nombre Moisés (mosé = niño, que sería la
simplificación de Amon­mosé = niño donado por Amon) y se pregunta como
el Moisés ilustrado sobre la base de los conocimientos y la cultura
egipcia pueda haber abandonado su religión, politeísta sin límites, por
un “nueva” (mosaica) rigurosamente monoteísta que, por otro lado,
propone una sublime abstracción en contraposición a concepciones
arcaicas fetichistas y concretas.
Una antigua confesión de fe hebrea dice: “Shemà Yisrael Adonay Elohenu Adonay Echod” que es traducido como: “Israel escucha, Adonay es mi Dios
Esta invocación del Faraón lleva a la idea que la religión monoteísta
haya sido impuesta al pueblo por el poder central y, en el mismo modo,
empezamos a leer la historia de Moisés. En otras palabras, no es Dios
que elige el pueblo electo, sino es Moisés que elige su pueblo para
crear su poder, imponiendo sea su Dios (el supremo y universal Adonay)
sea la circuncisión (costumbre social y sanitaria egipcia). De este modo
el pueblo hebreo se vuelve el elegido, pero también el subordinado a
las leyes y las normas impuestas por la idea monoteísta que surge de la
necesidad de unificar las conquistas universales: monoteísmo como efecto
secundario del imperialismo.
Frente a estas consideraciones, Freud trata de explicar la historia de los trastornos socio-políticos del pueblo hebreo.  Es
preconizada, por lo tanto, la muerte de Moisés, la rebelión contra la
tradición egipcia (la circuncisión es presentada como rechazo de las
tradiciones atadas al destierro en Egipto), la elección de un nuevo Dios
“volcánico” Yahweh, la eliminación de la dinastía sacerdotal de los
Levi que descendieron de los funcionarios de Moisés, abandono de las
tradiciones para la conservación del cuerpo de los muertos.
Los fundamentos de la doctrina Mosaica fueron:
- la idea de un Dios único transcendente;
- el rechazo de un ceremonial mágico; 
-
imposición de exigencias éticas. Éstos fueron operantes hasta un
determinado momento, pero sucesivamente fueron dejados para volver
sucesivamente y lentamente a afirmarse. Por Freud este curso y recurso
corresponden a un proceso de psicología colectiva, no muy disímil de
aquellas características de la vida mental del individuo. Se necesita
tiempo para que el trabajo intelectivo y cognitivo del’ Yo lleve a
superar las objeciones que son sustentadas por fuertes inversiones
afectivas. Freud habla de “período de latencia” que sigue a un “choque
traumático” o “neurosis traumática”, y que precede la conquista de una
nueva calma o equilibrio que tiene en cuenta las experiencias
experimentadas. El recuerdo influye de modo decisivo sobre el
pensamiento y sobre la acción del pueblo que lo ha tenido escondido,
pero no abjurado. De este modo la tradición de un gran pasado y los
principios de la religión mosaica basados en Aton adquieren mayor poder
sobre los espíritus logrando transformar la de Yahweh en una nueva
religión, más mística, más social, más conforme a las exigencias del
pueblo.

Cuando
el sujeto está descontento del propio presente (y en las varias épocas
de la vida a menudo succede) mira hacia atrás, al pasado, con la
esperanza de encontrar ocasiones a veces útiles para hacer revivir un
sueño. En la tradición viven estos momentos de recuerdos incompletos y
confusos que permiten llenar vacíos, crear fantasías y formar una
determinada “escena” que es tomada como verdad.

 Freud explica el monoteísmo de Amenofis IV por el conflicto que éste había tenido con su padre

OTRAS TEORIAS SOBRE AKHENATÓN
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Freud y El Éxodo











































Freud y El Éxodo












Dos gigantes de las letras alemanas, Goethe y Schiller, hicieron sus comienzos en el movimiento literario romántico Sturm und Drang,
cuyo precursor era un entusiasta impulsor de los estudios hebraicos:
Johann Gottfried Herder, traductor del Cantar de los Cantares.
Herder, amigo personal
de Mendelssohn, opinó que valía la pena dedicar diez años al estudio
del hebreo, aunque más no fuera que para leer en su original el
esplendor del Salmo 104. El denominado Barji Nafshi puede bien considerarse un himno ecológico. La
poesía hebraica era para Herder “la más antigua, simple y sincera del mundo”.
La admiración por el hebreo era frecuentemente
motivada por las virtudes del estilo bíblico, escueto y directo. En el
primer capítulo del Éxodo hay un buen ejemplo de esa concisión hebrea,
cuando en apenas diez palabras se nos informa de un
cambio histórico trascendental: el final de la gloriosa decimooctava dinastía en Egipto.
En un versículo de treinta letras la Biblia narra el
ascenso al trono de un “faraón nuevo que no recordó a José”, ni mantuvo
las buenas relaciones que los descendientes de éste, los hebreos, habían
entablado con los egipcios nativos. El enfrentamiento entre la nueva
casta reinante y los
judíos empeoró hasta estallar la rebelión de los esclavos y el celebérrimo Éxodo.
Sobre la identidad
del faraón que gobernaba Egipto en esos días, los historiadores no se
ponen de acuerdo. Se mencionan como alternativas cronológicas los siglos
XV, XIV y XIII a.e.c. Los ejemplos son respectivamente Tutmosis III,
Tutankamón y Ramsés II. Algunos prefieren al sucesor de este último,
Mernefta.
El psicoanálisis habría agravado la indefinición en cuanto a la identidad del faraón, porque Sigmund Freud le adjudicó efectos enormes sobre quiénes somos los judíos y qué es el monoteísmo.



Entre Tutmosis y Mernefta  De las
alternativas esgrimidas para identificar al faraón del Éxodo, la más
temprana es Tutmosis III y la más tardía Mernefta. Si se tratara del
primero, un conquistador de ciudades cananeas, entonces los israelitas
conducidos por Moisés serían los descendientes de una
clase social de dependientes y protegidos llamados Habiru. Incluso el nombre de hebreos podría derivar del de aquéllos. En documentos antiguos, los Habiru
aparecen en algunos casos como fugitivos, y en otros como bandas
guerreras. Por su parte, Mernefta es el protagonista de la primera
mención de
Israel en la historiografía externa, la famosa tableta en la que se anuncia la destrucción de los judíos.


Tutmosis y Mernefta, ambas hipótesis fueron descartadas por sendos eruditos: Moshé Greenberg, renombrado profesor de Biblia de la Universidad Hebrea, y el historiador alemán Eduard Meyer.


Acerca de las posibilidades intermedias que restan, el debate sobre la identidad del faraón dio lugar a una jugosa polémica. Sigmund Freud planteó en su último libro,
que el Éxodo se produjo durante el interregno entre Amenofis IV y
Tutankamón, un período anárquico que acompañó el declive de la dinastía
XVIII. Si así fuera, los orígenes del judaísmo y de la
religión en general nos desconcertarían. La clave puede reducirse a quién fue don Amenofis IV.


Su padre, Amenofis III, gobernó por casi cuatro décadas e
hizo construir los templos de Tebas, de los cuales aún puede admirarse
el de Luxor. Alrededor del 1400 a.e.c. nació Amenofis IV, monarca
durante diecisiete años bajo el nombre de Akenatón, el que es útil a Atón. Su vida y obra han sido vastamente estudiadas, y el arqueólogo norteamericano James Breasted (el redactor del primer
diccionario de egipcio antiguo) llegó a denominarlo el primer individuo de la historia humana.


Akenatón promovió un cambio fundamental en la vida religiosa
del país; estableció al dios sol como único objeto de culto permitido.
En contraste con lo que era habitual en Egipto, Akenatón no buscó para
sus nuevas ideas apoyo en la vieja tradición. Se le opuso abiertamente,
lanzó una campaña contra los sacerdotes del viejo culto y trasladó la
capital a Aket-Atón, horizonte de Atón, el dios sol. Las ruinas de esa ciudad se denominan hoy Tel-el-Amarna, y es donde se hallaron famosísimas cartas acadias que ilustran sobre la época.


La revolución de este “primer individuo” Sumo profeta de Atón, ulteriormente fracasó. Poco después de su muerte,
sus sucesores, Haremhab y Tutankamón, restableceron las antiguas
deidades, y los sacerdotes de la vieja religión recobraron sus
privilegios. La historiografía egipcia posterior, aunque denigra a
Akenatón con epítetos como hereje y criminal, no logró empero menoscabar su originalidad.



Sin embargo, la obra Sigmund Freud publicó en 1937 sometió
aquel fracaso a una metamorfosis que lo transformó en una victoria
póstuma descomunal. Se trata de El hombre Moisés y la religión monoteísta.



En ese libro se esboza que Akenatón fue el faraón previo al
Exodo, que se habría producido durante un interregno entre dinastías.
Cuando el culto iniciado por Akenatón fue finalmente depuesto, un noble
egipcio partidario del derrotado, habría decidido enseñar la nueva
doctrina a un
grupo de esclavos, con los que creó una nación contestataria. Según Freud, aquel egipcio habría sido nada menos que Moisés, su Atón habría pasado a ser Adonai, y la nación surgida vendría a ser el pueblo hebreo. El error de Freud


 De acuerdo con la peregrina hipótesis,
el monoteísmo no fue una creación del genio judío, como mostrara
Iejezkel Kaufmann, sino la iniciativa de ese Faraón que impulsó “el
episodio monoteísta de la historia de Egipto”. Su seguidor Moisés habría
sido ulteriormente asesinado por los israelitas, y este parricidio
habría provocado un sentimiento inconsciente de culpa perpetuado en las
generaciones, que constituiría la base de la religión.



El tema de la psicogénesis general de la religión según la ve
Freud, puede ser motivo de otro artículo. Aquí nos contentaremos con la
primera parte de la sugerencia freudiana: la histórico-teológica.



Si bien la hipótesis de Freud ya fue refutada, en su momento sorprendió tanto a judíos como a gentiles, y no porque fuera especialmente original. En Derecho Hebreo, Mateo
Goldstein rechaza que haya en la tesis “una novedad extraordinaria”. La
sorpresa resultó de la equivocación de Freud al atribuir un alcance
excesivo a la faceta teológica de las modificaciones introducidas por
Akenatón. Aunque es verdad que el monarca eliminó los aspectos
zoomórficos de la divinidad, y así se elevó por sobre la teología de su
época, también es obvio que no puede considerárselo monoteísta sobre el
único fundamento de que
el sol fue su único dios.


Esto es así, primeramente, porque en el culto que ideó
Akenatón, él mismo y su esposa Nefertiti seguían siendo objeto de
idolatría como todos los faraones. En segundo lugar, y principalmente,
porque el monoteísmo bien entendido no es una mera cuestión aritmética
sino una visión del Creador que lo percibe fuera de la
naturaleza, más allá de sus leyes, del tiempo y del espacio.


Explica Shalom Rosenberg que “el judaísmo hace una revolución pero no sólo de aristocracia hacia monarquía absoluta.
No es una revolución simplemente numérica, de muchos hacia uno;
consiste en sacar a Dios completamente fuera del mundo. En creer en un
Dios trascendente, al cual no podemos ya dominar y al cual ya no nos
podemos dirigir a través de la magia. Nuestra relación con El será
completamente distinta a la mágica: será
ética“.


Freud trae como paralelo entre la religión de Atón y la de Moisés, el hecho de que las imágenes del Himno a Atón
recuerdan al salmo 104 (el mencionado al comienzo de este artículo).
Pero el símil es insuficiente para asignar monoteísmo al faraón. La
religión egipcia que describe Freud es una simple monolatría, en la que
la única deidad es el sol. El nombre de Dios en el monoteísmo hebreo, el
maravilloso tetragramaton, insinúa en sí mismo la eternidad del
Creador, Su trascendencia por sobre las leyes de la naturaleza. Eso es
lo fundamental. Un solo y único Dios es el Dios del hombre, no el de la
naturaleza, y por eso puede ser Dios de bondad. De aquí que el
monoteísmo verdadero sea el comprometido con la ética.



Algo parecido podría decirse de los supuestos “monoteísmos”
helénicos. Iosef Klausner enseñaque “a pesar del politeísmo
extremadamente desarrollado de los griegos, sus
filósofos (pero no el pueblo en su totalidad) tendían a la idea del monoteísmo pero no a una fe monoteísta, ya que se trataba meramente de un principio unitario del ser, un principio natural. Desde los tiempos de Tales de Mileto,
los filósofos se dedicaron al estudio de la naturaleza, tratando de
descubrir un principio único que sustenta todas las cosas. Por ese
camino arribaron a una especie de monoteísmo, especialmente desde
Anaxágoras en adelante. Pero este monoteísmo no fue más que una
concepción intelectual”.



En el caso del controvertido faraón que exploramos, la
teología fue mucho más primitiva aún. La revolución que propició
Akenatón no fue teológica sino social. Como consecuencia de la expansión
del imperio, había surgido entre los funcionarios una incipiente clase
media que enfrentó a la aristocracia y la casta sacerdotal,
principalmente dentro del ejército egipcio. Los generales Pakhuru y el
mentado Haramhab le permitieron a Akenatón imponer su voluntad en
materia religiosa.


Freud infirió de esta transformación social, una cruzada teológica que habría derivado en el judaísmo y en sus religiones hijas. Como expuso Martín Buber en su clásico Moisés:
“es lamentable que un erudito tan importante en su propio campo como
Sigmund Freud, se haya permitido publicar una obra tan poco científica,
basada en hipótesis sin fundamento”. El mismo Freud admite en su libro
que su tesis “carece de
pruebas
objetivas” y la plantea con la dificultad de que, siendo él mismo
judío, intenta “privar a este pueblo del más grande de sus hijos”.



Lo más aceptado hoy es que el faraón del Éxodo fue Ramsés II. Veamos de qué modo.


Durante la decadencia del reino medio (siglo XVII a.e.c.) un
grupo de beduinos del desierto arábigo invadió Egipto. Eran los hicsos, reyes pastores, que establecieron su capital en Tavaris (Zoan
en la Biblia) e iniciaron dos siglos de estabilidad. Introdujeron
caballos y carros de combate, y abrieron las puertas del país al
asentamiento y
desarrollo
de los hebreos. Pero los hicsos fueron eventualmente expulsados del
país. Cuatro faraones (Ahmes y sus sucesores) emprendieron la expulsión y
fundaron el segundo imperio tebano durante la mentada XVIII Dinastía,
que lleva a cabo una férrea
política nacionalista que terminó incluyendo a los israelitas en su hostilidad.


La dinastía siguiente (XIX) se conoce como Ramsesana:
su tercer faraón fue Ramsés II (1290-1223 a.e.c.), protagonista del
Éxodo. La Biblia alude a dos aspectos de la nueva dinastía: la
localización de la casa real en Per-Ramsés, por él edificada, y
que los nuevos gobernantes (aquellos que “no conocieron a José”)
utilizaron los caballos que habían importado los hicsos, para deshacerse
de éstos con sus hebreos y todo (capítulo 15 del libro del Éxodo).



La fiesta judía de la libertad,
Pésaj, es la ceremonia religiosa viviente más antigua de la humanidad.
Memora año a año, durante más de tres milenios, la historia del fin de
la opresión en Egipto. Un humilde origen de servidumbre, de este modo,
puede despertar en el pueblo hebreo sensibilidad ante el pesar de otros
grupos esclavizados. Esa sensibilidad inspiró a los judíos de todas las generaciones para aportar en la construcción de una sociedad menos opresiva. Es la enseñanza
queDios reveló a Moisés el israelita, quien heredó la idea monoteísta
de los patriarcas hebreos, Abraham, Isaac y Jacob, y la convirtió en
patrimonio de una nación entera


Gustavo D. Perednik